Ne dites pas...

Mon dernier «Ne dites pas…» m’a valu les remarques de deux lecteurs qui ont attiré mon attention sur des tournures qu’on peut facilement confondre. Je revois donc ma copie en la complétant.

Ne dites pas: «Le pinailleur a estropié le prénom de Hans-Rudolf Merz dans le numéro 396 du Pamphlet et le fait qu’il s’agit clairement d’une faute d’inattention ne constitue pas une excuse.» Dites: «Le pinailleur a estropié le prénom de Hans-Rudolf Merz dans le numéro 396 du Pamphlet et le fait qu’il s’agit manifestement d’une faute d’inattention ne constitue pas une excuse.

Vous pouvez dire aussi: (…) le fait qu’il s’agit (…) d’un défaut d’attention ne constitue pas une excuse.» ou encore: «(…) le fait que l’erreur a été (…) commise faute d’attention ne constitue pas une excuse.»

Le pinailleur

Thèmes associés: Humeur

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