Ne dites pas…

Ne dites, pas comme La Liberté en ligne du 15 novembre: «Après les crues, le canton panse les cicatrices.» Dites: «Après les crues, le canton panse les plaies.»

Nous espérons que les Fribourgeois des Vanels (Charmey), évacués en raison des intempéries, ont pu réparer les dégâts causés par la boue qui avait envahi leurs logements, et que leurs plaies morales et, peut-être, physiques sont en voie de cicatrisation.

Quelque journaliste pourra ainsi annoncer à son lectorat que les plaies des cicatrices sont en train de se refermer.

Le pinailleur

Thèmes associés: Divers - Environnement

Cet article a été vu 675 fois

Recherche des articles

:

Recherche des éditions