Une campagne de rappels catastrophique

Ce n’est ni la faute du programme informatique ni celle de l’ordinateur. Ce n’est pas non plus la faute d’une secrétaire ou d’une apprentie: c’est la mienne!

Je me suis si lourdement trompé dans la fusion entre les données transférées de Postfinance et le modèle de rappel rédigé à l’intention des abonnés qui n’avaient pas réglé leur abonnement 2012 que ce sont, parmi les abonnés en règle, principalement les abonnés de soutien qui ont reçu ce rappel, ceux qui ne s’étaient pas limités à l’abonnement minimum, mais qui avaient généreusement «arrondi» leur contribution aux cinquante ou aux cent francs supérieurs.

Pire encore: quelques abonnés ont reçu une formule appelée «2e rappel», figurant parmi les masques proposés par le logiciel Winbiz, comportant d’arrogantes menaces de procédure de poursuites en cas de retard persistant!

En lançant cette procédure automatisée, je me doutais que quelques rappels seraient adressés à tort à des abonnés qui avaient payé leur dû, mais sur un bulletin que les lecteurs informatiques de Postfinance n’auraient pas pu lire. C’est pourquoi le rappel suggérait à l’abonné interpellé à tort un petit coup de fil à l’administration.

Nouvelle erreur de ma part: le numéro de téléphone de l’administration est celui de la rédactrice responsable qui, au moment de l’expédition du Pamphlet n° 414, s’absentait fréquemment à la veille d’un séjour de plusieurs semaines à l’étranger et n’avait pas encore fait l’acquisition d’un répondeur automatique.

Je présente mes excuses à tous ceux, et très particulièrement aux généreux abonnés de soutien, qui ont reçu sans l’avoir mérité un insolent rappel pour leur abonnement 2012.

Il n’est pas absolument exclu que les abonnés réellement en retard soient les seuls qui n’ont pas reçu de rappel.

Une équipe est encore en train d’essayer de remettre de l’ordre dans la comptabilité Winbiz du Pamphlet.

C.P.

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