Ne dites pas...

Ne dites pas: «Il est heureux que l’ancien président de la Confédération Adolf Ogi ait remis à sa place l’insupportable et arrogant ancien président de la République française Nicolas Sarkozy – qui se mêlait de critiquer les institutions suisses au lieu de s’occuper de ses affaires – et on regrette presque que la presse n’ait eu à reporter que des propos somme toute courtois.» Dites: «Il est heureux que l’ancien président de la Confédération Adolf Ogi ait remis à sa place l’insupportable et arrogant (…) Nicolas Sarkozy (…) et on regrette presque que la presse n’ait eu à rapporter que des propos somme toute courtois.»

Le pinailleur

Thèmes associés: Coups de griffe

Cet article a été vu 2606 fois

Recherche des articles

:

Recherche des éditions