Un grand homme

La mort du président Fidel Castro, ce comandante si cher à son peuple, ce héros de la révolution cubaine, ce géant de l'histoire, a plongé dans l'affliction toute la presse conformiste.

Un peuple inconsolable défile devant son héros, titrait 20 minutes du 29 novembre. Comme si, dans une dictature pure et dure, la population allait se risquer à manifester de l'allégresse ou simplement de l'indifférence devant la mort d'un prétendu père de tous les Cubains fortement soupçonné de s'être enrichi sur le dos de ses enfants et qui a, en bon communiste qu'il était, mené son pays à la faillite!

On peut le parier: seuls sont inconsolables les communistes, socialistes et gauchistes qui n'ont jamais été exposés aux «bienfaits» des révolutions marxistes, confortablement installés qu'ils sont dans leurs charentaises bobos et leurs aveugles certitudes d'intellectuels bien nourris. (mp)

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