Les nouvelles aventures...
Femme en danger
Pour avoir reproduit – en mentionnant sa source – des dessins tirés d’un hors-série du mensuel français Charlie Hebdo, grand défenseur le la liberté d’expression comme chacun sait, Vincent Reynouard, qui est toujours sous contrôle judiciaire en raison de péchés inexpiables, s’est retrouvé dans le collimateur de la justice sur plainte de l’auteur. A la suite de circonstances qu’il serait trop long de rapporter ici, il a été arrêté en France le 24 septembre, alors qu’il «pointait» à la gendarmerie de son lieu de domicile, et mis en détention provisoire. Alors qu’il s’attendait à rester sous les verrous jusqu’à son prochain procès, l’impudent révisionniste a été libéré au bout de quelques jours par une femme juge des libertés et de la détention. Celle-ci, estimant sans doute qu’emprisonner un citoyen pour avoir reproduit des dessins était tout de même un peu sévère, a opté, contre l’avis du procureur, pour la liberté sous contrôle judiciaire. Elle n’avait manifestement pas compris qu’il s’agissait de punir le «négationniste» et non le présumé «voleur de dessins».
En voilà une qui risque de ne pas faire de vieux os dans la magistrature!
Femme en danger (bis)
Comme je vous l’apprenais le mois dernier, le premier ministre belge Elio Di Rupo a présenté récemment au nom de tous les Belges évidemment – il ne va pas porter la responsabilité tout seul quand même! – ses excuses les plus plates, pour ne pas dire les plus serviles, afin d’obtenir l’impossible: l’absolution pour les crimes commis par la Belgique envers les juifs pendant l’occupation.
Que n’a-t-il réfréné son zèle!
Le 27 septembre a paru La Shoah en Belgique, traduction d’un livre publié en allemand – et que, par conséquent, le premier ministre belge francophone ne pouvait pas connaître – en octobre 2009 par une historienne nommée Insa Meinen. Cette dame prétend que la collaboration officielle avec l’occupant n’a pas été si développée en Belgique qu’on s’est plu à le croire ou tout au moins à le dire.
Mais n’ayez crainte: il y tout lieu de supposer que, le mal étant fait, Elio di Rupo maintiendra ses excuses et que les Belges passeront à la caisse.
Quant à Insa Meinen, historienne teutonne de l’université d’Oldenburg, elle se retrouvera un de ces jours avec de gros ennuis et de nombreux loisirs si elle ne quitte pas rapidement la pente savonneuse qu’elle a choisie.
Mariette Paschoud
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