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Les taxis de Munich (sagesse populaire)
Pour autant que le chauffeur soit de souche, l’usage de taxis dans une ville étrangère a ceci d’intéressant qu’il est susceptible de mettre le visiteur en prise directe avec la pensée de base locale. Pour peu que celui-ci sache poser les questions qu’il faut, il est possible d’obtenir des indications moins suspectes que les résultats de bien des sondages de commande.
Ainsi donc, à l’occasion d’un séjour dans le chef-lieu bavarois, Max a pu constater que quatre-vingts pour cent des chauffeurs locaux n’écoutent plus les chaînes d’information, parce qu’ils sont las de s’entendre servir des mensonges et qu’en bons professionnels ils redoutent le sommeil au volant. Le vingt pour cent restant était composé d’un chauffeur d’origine iranienne avec lequel Max a préféré aborder d’autres sujets.
Les fins statisticiens déduiront que l’échantillonnage de personnes interrogées ne se montait qu’à quatre chauffeurs, puisque l’Iranien fut consulté sur tout autre chose, et qu’il s’agit-là d’un pourcentage douteux et d’une base un peu faible pour en tirer une «vraie certitude»… Mais au moins ont-ils pu disposer de chiffres réels et aisément vérifiables1, ce qui n’est peut-être pas toujours le cas pour les sondages officiels…
Vingt sur vingt pour un zéro!
Nous ne pouvons que recommander aux esprits méfiants de se procurer le DVD de Zero, film-enquête de l’Italien Giulietto Chiesa étrangement occulté dans notre monde libre si féru de transparence. Ce documentaire (en version originale italienne sous-titrée en français et en version anglaise)2 a le mérite de poser les questions qu’il faut sur les bizarreries entourant trois des quatre avions de ligne qui firent l’histoire le 11 septembre 2001: ceux qui percutèrent les tours jumelles de Manhattan et celui qui causa quelque dommage au centre de commandement numéro un des forces états-uniennes.
Après avoir analysé l’effondrement des tours du Rockefeller Center, mais aussi la troublante destruction collatérale d’un troisième immeuble qui, lui, n’avait été percuté par rien, le film traite de cet étrange écrasement d’un avion «vaporisé»3, sans débris ni dégâts accessoires4, au contact du béton du premier mur du Pentagone, et de toutes ces caméras de sécurité qui n’ont rien vu (sauf une, mais nous laissons aux spectateurs intéressés le soin de découvrir officiellement pourquoi elle vit la matérialisation d’une trajectoire, sans pour autant enregistrer la moindre trace d’aéronef).
A la différence manifeste des agences d’investigation gouvernementales aux ordres du ci-devant Rassembleur-des-Forces-du-Bien, les électrons libres teigneux et entêtés de l’équipe d’enquêteurs italienne ont recherché et trouvé ceux qui avaient quelque chose d’utile à constater et à dire de par leur expérience professionnelle civile ou militaire, leur position privilégiée de témoins et, parfois même, en ces deux qualités. Le produit final est un dossier accablant.
Mais, se diront les plus perspicaces des soupçonneux, comment admettre que d’éventuels comploteurs, disposant à l’évidence de puissants moyens financiers et technologiques, aient eu la désinvolture de bâcler une telle opération au point que de simples particuliers un peu trop curieux aient été en mesure d’en exposer rapidement les invraisemblances et les étrangetés? Quid du quatrième vol – dont, selon les constatations immédiates de CNN le soir même sur le lieu du drame, on ne trouva «[pas de débris] plus grand qu’un annuaire téléphonique»? Et, dans l’éventualité d’un ou deux vols «fantômes», quid de leurs équipages et de leurs passagers?
Voila trois questions pertinentes auxquelles nous pensons pouvoir répondre au prochain numéro, pour le plaisir du débat, en proposant d’inconvenantes hypothèses…
Madoff a bon dos
Loin de nous l’intention de laisser l’ineffable Monsieur Madoff se perdre dans l’oubli de la «mémoire courte»; pas plus que de nous laisser distraire par les effets de manches de gérants de faillites gouvernementales soucieux de brouiller la trace des bénéficiaires définitifs d’écritures en errances; ni de nous laisser bercer par les mêmes de l’espoir illusoire d’un reflux de fonds exilés en des endroits insoupçonnables. Mais, pour un Madoff, combien d’autres prestidigitateurs de même nature reste-t-il encore à débusquer, et à quand les prochaines migrations financières?
Pour autant que le chauffeur soit de souche, l’usage de taxis dans une ville étrangère a ceci d’intéressant qu’il est susceptible de mettre le visiteur en prise directe avec la pensée de base locale. Pour peu que celui-ci sache poser les questions qu’il faut, il est possible d’obtenir des indications moins suspectes que les résultats de bien des sondages de commande.
Ainsi donc, à l’occasion d’un séjour dans le chef-lieu bavarois, Max a pu constater que quatre-vingts pour cent des chauffeurs locaux n’écoutent plus les chaînes d’information, parce qu’ils sont las de s’entendre servir des mensonges et qu’en bons professionnels ils redoutent le sommeil au volant. Le vingt pour cent restant était composé d’un chauffeur d’origine iranienne avec lequel Max a préféré aborder d’autres sujets.
Les fins statisticiens déduiront que l’échantillonnage de personnes interrogées ne se montait qu’à quatre chauffeurs, puisque l’Iranien fut consulté sur tout autre chose, et qu’il s’agit-là d’un pourcentage douteux et d’une base un peu faible pour en tirer une «vraie certitude»… Mais au moins ont-ils pu disposer de chiffres réels et aisément vérifiables1, ce qui n’est peut-être pas toujours le cas pour les sondages officiels…
Vingt sur vingt pour un zéro!
Nous ne pouvons que recommander aux esprits méfiants de se procurer le DVD de Zero, film-enquête de l’Italien Giulietto Chiesa étrangement occulté dans notre monde libre si féru de transparence. Ce documentaire (en version originale italienne sous-titrée en français et en version anglaise)2 a le mérite de poser les questions qu’il faut sur les bizarreries entourant trois des quatre avions de ligne qui firent l’histoire le 11 septembre 2001: ceux qui percutèrent les tours jumelles de Manhattan et celui qui causa quelque dommage au centre de commandement numéro un des forces états-uniennes.
Après avoir analysé l’effondrement des tours du Rockefeller Center, mais aussi la troublante destruction collatérale d’un troisième immeuble qui, lui, n’avait été percuté par rien, le film traite de cet étrange écrasement d’un avion «vaporisé»3, sans débris ni dégâts accessoires4, au contact du béton du premier mur du Pentagone, et de toutes ces caméras de sécurité qui n’ont rien vu (sauf une, mais nous laissons aux spectateurs intéressés le soin de découvrir officiellement pourquoi elle vit la matérialisation d’une trajectoire, sans pour autant enregistrer la moindre trace d’aéronef).
A la différence manifeste des agences d’investigation gouvernementales aux ordres du ci-devant Rassembleur-des-Forces-du-Bien, les électrons libres teigneux et entêtés de l’équipe d’enquêteurs italienne ont recherché et trouvé ceux qui avaient quelque chose d’utile à constater et à dire de par leur expérience professionnelle civile ou militaire, leur position privilégiée de témoins et, parfois même, en ces deux qualités. Le produit final est un dossier accablant.
Mais, se diront les plus perspicaces des soupçonneux, comment admettre que d’éventuels comploteurs, disposant à l’évidence de puissants moyens financiers et technologiques, aient eu la désinvolture de bâcler une telle opération au point que de simples particuliers un peu trop curieux aient été en mesure d’en exposer rapidement les invraisemblances et les étrangetés? Quid du quatrième vol – dont, selon les constatations immédiates de CNN le soir même sur le lieu du drame, on ne trouva «[pas de débris] plus grand qu’un annuaire téléphonique»? Et, dans l’éventualité d’un ou deux vols «fantômes», quid de leurs équipages et de leurs passagers?
Voila trois questions pertinentes auxquelles nous pensons pouvoir répondre au prochain numéro, pour le plaisir du débat, en proposant d’inconvenantes hypothèses…
Madoff a bon dos
Loin de nous l’intention de laisser l’ineffable Monsieur Madoff se perdre dans l’oubli de la «mémoire courte»; pas plus que de nous laisser distraire par les effets de manches de gérants de faillites gouvernementales soucieux de brouiller la trace des bénéficiaires définitifs d’écritures en errances; ni de nous laisser bercer par les mêmes de l’espoir illusoire d’un reflux de fonds exilés en des endroits insoupçonnables. Mais, pour un Madoff, combien d’autres prestidigitateurs de même nature reste-t-il encore à débusquer, et à quand les prochaines migrations financières?
NOTES:
1) Max tient les fiches de courses à la disposition des vérificateurs éventuels.
2) Ce documentaire peut être commandé au prix de 15 € (plus les frais de port) par téléphone au 0033-(0)4 93 56 19 59 ou via le site Internet http://shop.upsylon.com/cgi-bin/librediff/12399.html?id=RTAeJo84&mv_pc=1740.
3) Selon les termes mêmes de l’enquête officielle.
4) Pas un seul des lampadaires présents sur la trajectoire prétendue de l’avion n’a été couché par les ailes de l’appareil!
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