Le ventre de la bête immonde est encore fécond!
«Et si on jouait à se faire peur?» se disent les journalistes de la presse à sensation et les professionnels de l’antiracisme.
En Autriche, «une série de provocations et d’incidents laissent craindre une montée en puissance de l’extrême-droite», écrit la correspondante de 24 heures à Vienne, dans un article du 14 mai dans lequel on sent les frémissements, à la fois de terreur et d’impatience, de celle qui se prépare à voir le loup.
Pour Ariel Muzikant, président de la communauté religieuse israélite d’Autriche, un des exemples de banalisation de l’extrême-droite est la nomination au poste de troisième président du Parlement du député FPÖ Martin Graf, également membre d’une «Burschenschaft, ces cercles d’étudiants nostalgiques du pangermanisme et souvent affiliés à des mouvements d’extrême-droite» (sic).
Un chiffre «fait peur (dixit la journaliste): une enquête a en effet révélé que près d’un Autrichien de moins de trente ans sur deux a voté pour l’un des deux partis d’extrême-droite lors des législatives du 28 septembre dernier».
«Suite aux incidents dans le camp de concentration d’Ebensee, le Ministère de l’Intérieur va intensifier les séances d’information dans les écoles», a indiqué Alexander Marakovits, un de ses porte-parole.
La révolte des moins de trente ans contre le bourrage de crâne qu’on a imposé à leurs aînés depuis une cinquantaine d’années, la panique de la nomenklatura, qui se prépare à intensifier «les séances d’information dans les écoles» – lisez: les opérations de propagande idéologique –, la bêtise opaque de l’imbécile qui considère toutes les sociétés d’étudiants portant couleurs comme des nostalgiques du pangermanisme, et même les provocations de quelques adolescents dans les réunions de vieux crabes octogénaires, tout cela me paraît extrêmement réjouissant.
En réalité, il n’y a pas recrudescence du néonazisme, ni en Autriche ni ailleurs, mais il y a certainement une réaction de plus en plus visible à l’arrogance insupportable de la communauté juive, plus particulièrement de ceux qui s’expriment en son nom.
Cette communauté, omniprésente dans les médias, nous dicte ce que nous devons croire, nous affirme qu’il existe des ronds carrés et nous fait condamner à des peines de prison si nous en doutons, même si personne n’est capable de nous en montrer un seul exemplaire, extorque à nos banques des millions et laisse partir les siennes en faillite, explique au chef de l’Eglise catholique ce qu’il doit dire, et qui il a le droit de béatifier ou le devoir d’excommunier, et qualifie systématiquement d’antisémite tout commentaire qui n’est pas hagiographique à son endroit ou au sujet de l’Etat d’Israël.
C’est évidemment cette arrogance qui crée le sentiment d’agacement qualifié d’antisémitisme et non l’inverse. Et si ses porte-parole n’y prennent pas garde, s’ils ne mettent une sourdine à leurs prétentions, s’ils ne cessent pas de se prétendre les principales victimes de la dernière guerre, et d’exiger des réparations matérielles sans limites, s’ils ne cessent de nous dicter ce que nous devons croire, dire ou écrire, ils encourent un authentique sentiment d’hostilité et de rejet, comme cela est déjà arrivé au cours des siècles passés.
Au lieu de se lamenter sans fin, certains devraient se demander qui a fécondé à nouveau la bête immonde.
En Autriche, «une série de provocations et d’incidents laissent craindre une montée en puissance de l’extrême-droite», écrit la correspondante de 24 heures à Vienne, dans un article du 14 mai dans lequel on sent les frémissements, à la fois de terreur et d’impatience, de celle qui se prépare à voir le loup.
Pour Ariel Muzikant, président de la communauté religieuse israélite d’Autriche, un des exemples de banalisation de l’extrême-droite est la nomination au poste de troisième président du Parlement du député FPÖ Martin Graf, également membre d’une «Burschenschaft, ces cercles d’étudiants nostalgiques du pangermanisme et souvent affiliés à des mouvements d’extrême-droite» (sic).
Un chiffre «fait peur (dixit la journaliste): une enquête a en effet révélé que près d’un Autrichien de moins de trente ans sur deux a voté pour l’un des deux partis d’extrême-droite lors des législatives du 28 septembre dernier».
«Suite aux incidents dans le camp de concentration d’Ebensee, le Ministère de l’Intérieur va intensifier les séances d’information dans les écoles», a indiqué Alexander Marakovits, un de ses porte-parole.
La révolte des moins de trente ans contre le bourrage de crâne qu’on a imposé à leurs aînés depuis une cinquantaine d’années, la panique de la nomenklatura, qui se prépare à intensifier «les séances d’information dans les écoles» – lisez: les opérations de propagande idéologique –, la bêtise opaque de l’imbécile qui considère toutes les sociétés d’étudiants portant couleurs comme des nostalgiques du pangermanisme, et même les provocations de quelques adolescents dans les réunions de vieux crabes octogénaires, tout cela me paraît extrêmement réjouissant.
En réalité, il n’y a pas recrudescence du néonazisme, ni en Autriche ni ailleurs, mais il y a certainement une réaction de plus en plus visible à l’arrogance insupportable de la communauté juive, plus particulièrement de ceux qui s’expriment en son nom.
Cette communauté, omniprésente dans les médias, nous dicte ce que nous devons croire, nous affirme qu’il existe des ronds carrés et nous fait condamner à des peines de prison si nous en doutons, même si personne n’est capable de nous en montrer un seul exemplaire, extorque à nos banques des millions et laisse partir les siennes en faillite, explique au chef de l’Eglise catholique ce qu’il doit dire, et qui il a le droit de béatifier ou le devoir d’excommunier, et qualifie systématiquement d’antisémite tout commentaire qui n’est pas hagiographique à son endroit ou au sujet de l’Etat d’Israël.
C’est évidemment cette arrogance qui crée le sentiment d’agacement qualifié d’antisémitisme et non l’inverse. Et si ses porte-parole n’y prennent pas garde, s’ils ne mettent une sourdine à leurs prétentions, s’ils ne cessent pas de se prétendre les principales victimes de la dernière guerre, et d’exiger des réparations matérielles sans limites, s’ils ne cessent de nous dicter ce que nous devons croire, dire ou écrire, ils encourent un authentique sentiment d’hostilité et de rejet, comme cela est déjà arrivé au cours des siècles passés.
Au lieu de se lamenter sans fin, certains devraient se demander qui a fécondé à nouveau la bête immonde.
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