En direct de Sirius
Et… où en sommes-nous aujourd’hui?
Nous leur fourguions notre verroterie contre leur ivoire et leurs diamants…
– Ils nous la revendent aujourd’hui, sur nos plages et dans nos rues marchandes.
Nous les nourrissions à bon marché des fruits de l’arbre à pain…
– Nous compensons les déficits de notre alimentation de masse par des compléments qui mettent le jarret de veau au prix du kilo de foie gras.
Nous nous gaussions de leurs voitures-totems rehaussées d’ors, de chromos et de grigris…
– Nos petits blancs assaisonnent leurs véhicules-idoles d’accessoires et de lampions qui leur donnent des allures d’OVNIs ou d’arbres de Noël exotiques.
Nous nous moquions d’eux quand ils tentaient de se vêtir comme nous…
– Nous nous déguisons en eux.
Nous avions pour nous l’esprit quand ils nous enviaient nos artifices…
– Nous clinquons de partout.
Ils ne maîtrisaient pas notre langue…
– Ils y sont parvenus et nous ne résonnons plus qu’en franglais1 courant.
Lorsqu’ils pleuraient leurs morts, nous souriions de leurs incantations frénétiques…
– Virtuoses en lamentations, nous prolongeons nos deuils avec les morts des autres menés par des psychologues, dans des élans de convivialité morbide à laisser pantois les sorciers d’outre-mer.
Gavés de culpabilité, interdits de courage, nous en rajoutons dans la soumission…
– Ils sont plus pugnaces et arrogants que jamais.
Tous, nous recherchions la transcendance…
– Nous en sommes à compter nos sous.
Vingt sur vingt pour un zéro! (deuxième partie)
Dans notre première partie consacrée au 11 septembre 2001(n° 385), nous annoncions des hypothèses sur: 1) la possibilité d’une opération majeure bâclée; 2) le vol United Airlines 93; 3) des vols «fantômes». Nous ne disons pas qu’elles se sont réalisées, mais nous nous intéressons à leur plausibilité. Faute de temps et de place, mais aussi de moyens, nous nous en tiendrons à quelques remarques de simple bon sens. Nous ne reviendrons pas sur les observations présentées par l’équipe de Zéro présumées connues du lecteur. Des étranges conclusions de l’enquête officielle2, nous nous bornerons à relever qu’elles sont aussi improbables que celles de la commission Warren quand celle-ci s’efforçait d’invalider l’hypothèse du complot dans l’affaire de l’assassinat du président Kennedy (théorie de l’«avion invisible» passé entre deux images de film, au Pentagone, contre théorie de la «balle magique» zigzagante et inversant sa trajectoire, à Dallas).
1) Sur la plausibilité d’une opération bâclée: – Pragmatiques, les Etats-uniens privilégient dans leurs opérations stratégiques la rapidité d’exécution sans souci excessif du détail mais, en revanche, sans jamais lésiner sur les moyens, tant matériels qu’en termes de vies humaines. L’étude historique révèle que l’incitation au casus belli pour aboutir au déclenchement de guerres «du bon droit» – voire de guerres «préventives» – est une constante de leur politique d’expansion. Rompus au principe du fait accompli depuis George Washington lâchant ses alliés français, sitôt gagnée l’indépendance, pour établir au plus vite des relations commerciales avec ses «cousins» britanniques, ils ne s’embarrassent jamais d’états d’âme. Cette logique s’est perpétuée jusqu’à nos jours. Ainsi, quand on en vient à arguer de la non-existence patente d’armes de destruction massive en Irak: «Too bad» (quel dommage), répondent-ils d’un air navré, quitte à ajouter:«So what?» (Et après?) s’il advient qu’on insiste. Qu’importe ce «détail» une fois le but atteint?
2) Sur le vol UA93, tombé en rase campagne (à Stonycreek à cent huitante kilomètres au sud-est de Pittsburgh) où, le soir même, l’équipe de CNN n’a pas observé «de débris plus grands qu’un annuaire téléphonique»: – Un avion laisse toujours, en percutant le sol, des débris importants, en particulier les réacteurs et les éléments de train d’atterrissage3. Alors que de tels débris étaient visibles à Manhattan, ce ne fut pas le cas à Stonycreek (pas plus que devant le Pentagone pour le vol American Airlines 77 dont les ailes n’ont même pas fauché les lampadaires!) Une mise en scène est donc possible.
3) Eventualité de vols «fantômes»: – Tous les vols présentaient des taux d’occupation – équipages et pirates compris – inhabituellement faibles, 31,4% pour l’ensemble des quatre vols, tombant aux taux les plus bas pour ceux qui nous intéressent (AA77: 29%; UA93:16%!) Certains ont cru y voir une volonté de limiter les pertes en vies humaines incompatible avec une opération terroriste à grande échelle. L’analyse des listes de passagers indique sur la liste AA77 – et seulement sur celle-ci – la présence de pas moins de cinq officiers de tous grades et armes, tous «en retraite» (curieuse coïncidence quand on note également la présence de douze «retraités» parmi les cent vingt-cinq victimes de l’intérieur du Pentagone4). Il serait intéressant d’analyser la plausibilité des compositions des vols en les comparant avec un échantillonnage de vols similaires de la même période. Dans l’hypothèse d’une provocation délibérée destinée à justifier des interventions armées au Moyen-Orient – du propre aveu d’un haut gradé du Pentagone déjà en cours de planification six mois avant le 11 septembre –, il est évident que les USA étaient parfaitement à même de recourir à toutes sortes de montages, de combinaisons et de simulations (y compris des vols fictifs vers la Pennsylvanie, et de camouflage en direction du Pentagone): capacité de pénétration des systèmes informatiques, de manipulation des télécommunications, de guidage, mais aussi moyens de destruction sophistiqués (explosifs de précision et charges creuses de dernière génération indépendantes de la vitesse du vecteur) et, bien sûr, ressources tant humaines (engagement d’agents en nombre, substitution de personnes, «disparitions» par changement d’identités d’individus voire de familles entières5) que financières (achat de complaisances et de complicités). Et les gouvernements successifs des USA maîtrisent l’art de la psychologie de masse, en particulier lorsqu’il s’agit de contraindre à l’interventionnisme un peuple traditionnellement enclin à l’isolationnisme.
Notice à l’usage des futurs esclaves des pays libres:
PENSER NUIT GRAVEMENT À LA SANTÉ
POUR VOTRE SÉCURITÉ
FAITES CONFIANCE AUX GÉNIES QUI VOUS GOUVERNENT
Nous leur fourguions notre verroterie contre leur ivoire et leurs diamants…
– Ils nous la revendent aujourd’hui, sur nos plages et dans nos rues marchandes.
Nous les nourrissions à bon marché des fruits de l’arbre à pain…
– Nous compensons les déficits de notre alimentation de masse par des compléments qui mettent le jarret de veau au prix du kilo de foie gras.
Nous nous gaussions de leurs voitures-totems rehaussées d’ors, de chromos et de grigris…
– Nos petits blancs assaisonnent leurs véhicules-idoles d’accessoires et de lampions qui leur donnent des allures d’OVNIs ou d’arbres de Noël exotiques.
Nous nous moquions d’eux quand ils tentaient de se vêtir comme nous…
– Nous nous déguisons en eux.
Nous avions pour nous l’esprit quand ils nous enviaient nos artifices…
– Nous clinquons de partout.
Ils ne maîtrisaient pas notre langue…
– Ils y sont parvenus et nous ne résonnons plus qu’en franglais1 courant.
Lorsqu’ils pleuraient leurs morts, nous souriions de leurs incantations frénétiques…
– Virtuoses en lamentations, nous prolongeons nos deuils avec les morts des autres menés par des psychologues, dans des élans de convivialité morbide à laisser pantois les sorciers d’outre-mer.
Gavés de culpabilité, interdits de courage, nous en rajoutons dans la soumission…
– Ils sont plus pugnaces et arrogants que jamais.
Tous, nous recherchions la transcendance…
– Nous en sommes à compter nos sous.
Vingt sur vingt pour un zéro! (deuxième partie)
Dans notre première partie consacrée au 11 septembre 2001(n° 385), nous annoncions des hypothèses sur: 1) la possibilité d’une opération majeure bâclée; 2) le vol United Airlines 93; 3) des vols «fantômes». Nous ne disons pas qu’elles se sont réalisées, mais nous nous intéressons à leur plausibilité. Faute de temps et de place, mais aussi de moyens, nous nous en tiendrons à quelques remarques de simple bon sens. Nous ne reviendrons pas sur les observations présentées par l’équipe de Zéro présumées connues du lecteur. Des étranges conclusions de l’enquête officielle2, nous nous bornerons à relever qu’elles sont aussi improbables que celles de la commission Warren quand celle-ci s’efforçait d’invalider l’hypothèse du complot dans l’affaire de l’assassinat du président Kennedy (théorie de l’«avion invisible» passé entre deux images de film, au Pentagone, contre théorie de la «balle magique» zigzagante et inversant sa trajectoire, à Dallas).
1) Sur la plausibilité d’une opération bâclée: – Pragmatiques, les Etats-uniens privilégient dans leurs opérations stratégiques la rapidité d’exécution sans souci excessif du détail mais, en revanche, sans jamais lésiner sur les moyens, tant matériels qu’en termes de vies humaines. L’étude historique révèle que l’incitation au casus belli pour aboutir au déclenchement de guerres «du bon droit» – voire de guerres «préventives» – est une constante de leur politique d’expansion. Rompus au principe du fait accompli depuis George Washington lâchant ses alliés français, sitôt gagnée l’indépendance, pour établir au plus vite des relations commerciales avec ses «cousins» britanniques, ils ne s’embarrassent jamais d’états d’âme. Cette logique s’est perpétuée jusqu’à nos jours. Ainsi, quand on en vient à arguer de la non-existence patente d’armes de destruction massive en Irak: «Too bad» (quel dommage), répondent-ils d’un air navré, quitte à ajouter:«So what?» (Et après?) s’il advient qu’on insiste. Qu’importe ce «détail» une fois le but atteint?
2) Sur le vol UA93, tombé en rase campagne (à Stonycreek à cent huitante kilomètres au sud-est de Pittsburgh) où, le soir même, l’équipe de CNN n’a pas observé «de débris plus grands qu’un annuaire téléphonique»: – Un avion laisse toujours, en percutant le sol, des débris importants, en particulier les réacteurs et les éléments de train d’atterrissage3. Alors que de tels débris étaient visibles à Manhattan, ce ne fut pas le cas à Stonycreek (pas plus que devant le Pentagone pour le vol American Airlines 77 dont les ailes n’ont même pas fauché les lampadaires!) Une mise en scène est donc possible.
3) Eventualité de vols «fantômes»: – Tous les vols présentaient des taux d’occupation – équipages et pirates compris – inhabituellement faibles, 31,4% pour l’ensemble des quatre vols, tombant aux taux les plus bas pour ceux qui nous intéressent (AA77: 29%; UA93:16%!) Certains ont cru y voir une volonté de limiter les pertes en vies humaines incompatible avec une opération terroriste à grande échelle. L’analyse des listes de passagers indique sur la liste AA77 – et seulement sur celle-ci – la présence de pas moins de cinq officiers de tous grades et armes, tous «en retraite» (curieuse coïncidence quand on note également la présence de douze «retraités» parmi les cent vingt-cinq victimes de l’intérieur du Pentagone4). Il serait intéressant d’analyser la plausibilité des compositions des vols en les comparant avec un échantillonnage de vols similaires de la même période. Dans l’hypothèse d’une provocation délibérée destinée à justifier des interventions armées au Moyen-Orient – du propre aveu d’un haut gradé du Pentagone déjà en cours de planification six mois avant le 11 septembre –, il est évident que les USA étaient parfaitement à même de recourir à toutes sortes de montages, de combinaisons et de simulations (y compris des vols fictifs vers la Pennsylvanie, et de camouflage en direction du Pentagone): capacité de pénétration des systèmes informatiques, de manipulation des télécommunications, de guidage, mais aussi moyens de destruction sophistiqués (explosifs de précision et charges creuses de dernière génération indépendantes de la vitesse du vecteur) et, bien sûr, ressources tant humaines (engagement d’agents en nombre, substitution de personnes, «disparitions» par changement d’identités d’individus voire de familles entières5) que financières (achat de complaisances et de complicités). Et les gouvernements successifs des USA maîtrisent l’art de la psychologie de masse, en particulier lorsqu’il s’agit de contraindre à l’interventionnisme un peuple traditionnellement enclin à l’isolationnisme.
Notice à l’usage des futurs esclaves des pays libres:
PENSER NUIT GRAVEMENT À LA SANTÉ
POUR VOTRE SÉCURITÉ
FAITES CONFIANCE AUX GÉNIES QUI VOUS GOUVERNENT
NOTES:
1) …avec un clin d’œil à Roger Minne, à l’origine de cette éloquente contraction.
2) Le lecteur trouvera matière à étude critique sur Internet, sur des sites tels que www.foxnews.com/story/0,2933,62151,00.html (anglophone) ou www.reopen911.info/ (francophone) ou encore Wikipédia (mixte) tous très documentés.
3) Question parfaitement clarifiée par les spécialistes témoignant dans Zéro pour ce qui a trait à ce qui aurait frappé le Pentagone.
4) Qu’y faisaient-ils?
5) Actions dictées par l’intérêt – collectif aussi bien qu’individuel – et s’inscrivant dans une logique similaire à celle du «programme (éprouvé) de protection des témoins».
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