Les nouvelles aventures...
Il est sorti
Contrairement à ce qu’il craignait, le révisionniste allemand Ernst Zündel n’a pas été maintenu en prison au-delà de la date prévue. Il a quitté l’établissement pénitentiaire de Mannheim le 1er mars après sept ans de détention d’abord aux Etats-Unis, puis au Canada et, finalement, en Allemagne. Il est actuellement fort occupé à se réhabituer à la vie en liberté et à retrouver la forme physique qu’il avait perdue pendant son emprisonnement, faute d’exercice.
Ils sont fous…
On sait que l’enseignement de l’Holocauste prend des proportions démentielles un peu partout. Mais jusqu’ici, les prédicateurs se contentaient de raconter l’horreur, d’ordonner la détestation des «négationnistes» et d’interdire tout contact avec les écrits de ceux-ci – on n’est jamais trop prudent…
Un pas vient d’être franchi en Angleterre. Selon le Daily Mail du 12 mars, les instituteurs d’une école primaire britannique ont organisé un «jeu de l’Holocauste» à prétention réaliste pour les besoins duquel ils ont informé sans préparation certains élèves qu’ils allaient être séparés de leur famille. On imagine la terreur et les pleurs de ces pauvres gamins, peu au fait des préoccupations pédagogiques de leurs tortionnaires et qui ont cru ces derniers sur parole.
Aujourd’hui, des cinglés prétendent obliger des innocents à ressentir les souffrances des petits juifs déportés – c’était le but du «jeu». Jusqu’où pousseront-ils la reconstitution? Jusqu’à organiser des rafles ou simuler des entrées dans des chambres à gaz?
Il y a tout de même des limites à ne pas dépasser!
Mariette Paschoud
Contrairement à ce qu’il craignait, le révisionniste allemand Ernst Zündel n’a pas été maintenu en prison au-delà de la date prévue. Il a quitté l’établissement pénitentiaire de Mannheim le 1er mars après sept ans de détention d’abord aux Etats-Unis, puis au Canada et, finalement, en Allemagne. Il est actuellement fort occupé à se réhabituer à la vie en liberté et à retrouver la forme physique qu’il avait perdue pendant son emprisonnement, faute d’exercice.
Ils sont fous…
On sait que l’enseignement de l’Holocauste prend des proportions démentielles un peu partout. Mais jusqu’ici, les prédicateurs se contentaient de raconter l’horreur, d’ordonner la détestation des «négationnistes» et d’interdire tout contact avec les écrits de ceux-ci – on n’est jamais trop prudent…
Un pas vient d’être franchi en Angleterre. Selon le Daily Mail du 12 mars, les instituteurs d’une école primaire britannique ont organisé un «jeu de l’Holocauste» à prétention réaliste pour les besoins duquel ils ont informé sans préparation certains élèves qu’ils allaient être séparés de leur famille. On imagine la terreur et les pleurs de ces pauvres gamins, peu au fait des préoccupations pédagogiques de leurs tortionnaires et qui ont cru ces derniers sur parole.
Aujourd’hui, des cinglés prétendent obliger des innocents à ressentir les souffrances des petits juifs déportés – c’était le but du «jeu». Jusqu’où pousseront-ils la reconstitution? Jusqu’à organiser des rafles ou simuler des entrées dans des chambres à gaz?
Il y a tout de même des limites à ne pas dépasser!
Mariette Paschoud
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