Au courrier: La farce du climat
Une jeune fille de santé délicate est parvenue à provoquer une angoisse mondiale face aux prétendus dangers du réchauffement climatique. Sur toute la planète, on a vu des foules d'écoliers qui expriment à leur tour cette angoisse.
Et le monde politico-médiatique a donné sa bénédiction à ces cris d'orfraie de la jeunesse manipulée par une propagande orchestrée au niveau mondial par l'ONU et par le GIEC (Groupe international d'étude sur le climat).
Il faut que les gens aient peur.
Le grand coupable de cette prétendue crise climatique serait le CO2 produit par l'homme. Le Conseil fédéral, lors de la votation de la loi sur l'énergie, a prétendu que le CO2 produit par l'homme était nocif.
En réalité, le CO2 est une substance nécessaire à la vie, qui favorise l'éclosion de la végétation.
La part de l'homme dans l'émission du CO2 est extrêmement minime.
Pour combattre ce danger imaginaire, les maîtres de la planète invoquent l'énergie renouvelable.
Le bobard de l'énergie renouvelable est mentionné dans les publications officielles.
Selon le principe de la conservation de l'énergie, celle-ci ne peut être renouvelée. L'énergie dans son ensemble est constante. Elle ne peut être ni créée ni détruite.
Cessons de nous faire peur avec des dangers imaginaires. Le discours sur le climat a pour but de mettre en œuvre des mesures de police à l'échelle mondiale, et d'instaurer un gouvernement mondial sous prétexte de lutter contre le prétendu effet de serre1. En outre, très récemment, le 26 septembre 2019, cinq cents scientifiques se sont adressés au Secrétariat général des Nations Unies pour dénoncer l'alarmisme climatique. Ils relèvent notamment que:
- le réchauffement climatique est beaucoup plus lent que prévu;
- la politique climatique s'appuie sur des modèles inadéquats;
- le CO2 est l'aliment de la planète, le fondement de toute vie sur terre;
- davantage de CO2 est une bonne chose pour la nature;
- le réchauffement climatique n'a pas provoqué davantage de catastrophes naturelles;
- les mesures d'atténuation du CO2 sont aussi dévastatrices que coûteuses;
- les éoliennes tuent les oiseaux et les chauves-souris;
- la politique de neutralité du carbone pour 2050 est néfaste et irréaliste.
C'est en se référant à ce seul critère du réchauffement climatique causé par l'homme que se sont déroulés les débats et la campagne pour les élections fédérales de 2019.
Jamais les médias n'ont donné la parole à ces grands scientifiques qui dénoncent l'hystérie du prétendu réchauffement climatique. Grâce à l'hégémonie totalitaire de groupes de pression culpabilisant l'homme dans ce changement fictif du climat, les candidats écologistes ont triomphé lors des élections. Le monde politico-médiatique dans son ensemble, à l'exception un peu timide de l'UDC, porte une lourde responsabilité.
Le peuple abusé a ainsi envoyé à Berne un nombre important de personnes (hommes et femmes) incompétentes et mettant en péril la stabilité et l'indépendance de notre pays.
MCCV
1 Cf. Ernst Indlekofer, Recht und Freiheit; Pascal Bernardin, L'Empire écologique; Suzette Sandoz, L'Atout, professeur Marcel Leroux, notamment).
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