Au courrier
Message d'un avocat britannique
Comme le démontrent les lignes qui suivent, j'ai été contraint de prendre conscience de l'extrême difficulté à définir ce qu'est un «infidèle».
Choisir entre Allah ou le Christ, alors que l'islam est de loin la religion qui progresse le plus vite au Royaume-Uni.
Le mois dernier, je participais au stage annuel de remise à niveau, nécessaire au renouvellement de mon habilitation de sécurité dans les prisons.
Il y avait dans le cursus une présentation par trois intervenants représentant respectivement les religions catholique, protestante et musulmane, expliquant les fondements de leurs doctrines respectives.
C'est avec un intérêt tout particulier que j'attendais l'exposé de l'imam. La prestation de ce dernier fut remarquable, assortie d'une projection vidéo. A l'issue des présentations vint le temps des questions/réponses, et lorsque ce fut mon tour, je demandai: «Je vous prie de me corriger si je me trompe, mais j'ai cru comprendre que la majorité des imams et autorités religieuses ont décrété le jihad (guerre sainte) à l'encontre des infidèles du monde entier, et que, en tuant un infidèle (ce qui est une obligation faite à tous les musulmans), ceux-ci sont assurés d'aller au paradis. Dans ce cas, pourriez-vous me donner la définition de ce qu'est un “infidèle”?»
Sans rien objecter à mon interprétation et sans la moindre hésitation, l'imam répondit: «Un non-croyant». Je rétorquai: «Alors permettez-moi de m'assurer que j'ai bien compris. L'ensemble des adorateurs d'Allah doivent obéir au commandement de tuer quiconque n'appartient pas à votre religion, afin de gagner leur place au paradis, n'est-ce pas?»
Son visage qui affichait jusqu'alors une expression pleine d'assurance d'autorité se transforma soudain en celui d'un garnement surpris la main dans le pot de confiture. «C'est exact», rétorqua-t-il dans un murmure.
Je repris: «Eh bien, j'ai beaucoup de mal à essayer de m'imaginer le pape Benoît XVI exhortant tous les catholiques à massacrer vos coreligionnaires, ou le pasteur Stanley en faisant autant pour garantir aux protestants une place au paradis».
L'imam se retrouva sans voix! Je poursuivis: «J'ai également des difficultés à me considérer comme votre “ami”, lorsque vous-même et vos confrères incitez vos fidèles à m'égorger!»
Juste une autre question : «Choisirez-vous de suivre Allah qui vous ordonne de me tuer afin d'obtenir le paradis, ou le Christ qui m'incite à vous aimer afin que j'accède moi aussi au paradis, parce qu'Il veut que j'y sois en votre compagnie?»
On aurait pu entendre une mouche voler, tandis que l'imam demeurait silencieux. Inutile de préciser que les organisateurs et promoteurs du séminaire de formation à la «diversification» n'ont pas particulièrement apprécié cette façon de traiter le ministre du culte islamique, et d'exposer quelques vérités à propos des dogmes de cette religion.
Au cours des vingt années à venir, il y aura suffisamment d'électeurs musulmans au Royaume-Uni pour installer un gouvernement de leur choix, avec l'application de la sharia en guise de loi.
Il m'apparaît que tous les citoyens de ce pays devraient pouvoir prendre connaissance de ces lignes, mais avec le système de justice et de médias libéraux combinés à la mode démente du politiquement correct, il n'y a aucune chance que ce texte soit largement publié.
A. N.
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