Les nouvelles aventures…

Peut-être y verrez-vous paresse, mais je ne résiste pas au plaisir de publier la fin d’une lettre que le professeur Robert Faurisson a adressée récemment à son beau-frère qui le soupçonne de n’être révisionniste que par goût pour l’activité de «fouille-merde»:

A propos de cette rencontre autour d’un verre, je me souviens que, faisant allusion à mon combat révisionniste, tu m’as dit, gentiment et avec le sourire, que j’étais un «fouille-merde» (sic). (…)

Le scientifique que tu es doit savoir que, si la science est allée de l’avant, c’est grâce à la pléthore de «fouille-merde» qui ont «nié l’évidence», «cherché à y voir de plus près», «voulu revoir», quitte à contrarier femme, enfants, famille, belle-famille, le ban et l’arrière-ban, les donneurs de leçons morales et autres ainsi que les gros malins qui savent, eux, que rien ne vaut les charentaises, les honneurs, la bonne réputation.

J’ose espérer qu’un jour, à mon enterrement ou peu après, tu iras disant: «J’ai connu Robert Faurisson. Il était mon beau-frère. Son malheur tient en quelques mots: il était un chercheur; mieux ou pis, il était un chercheur qui trouvait; encore mieux ou encore pis, il trouvait ce qu’il ne fallait pas trouver.» Ainsi soit-il! – Bien à toi. RF

Que celui qui a des oreilles pour entendre entende!

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